Convention interaméricaine sur la disparition forcée des personnes, OEA, 1994
Date d'entrée en vigueur: jeudi 28 mars 1996
Date d'adoption: 9 juin 1994
Lieu d'adoption: Belém do Pará
Dépositaire: Secrétariat général de l'Organisation des États Américains
Signée par 16 pays, ratifiée par 15 pays
Pays signataires
Pays | Date de signature | Date de ratification * | Réserve / Déclaration | Commentaires |
---|---|---|---|---|
![]() |
10 juin 1994 |
31 oct. 1995 |
- |
|
![]() |
14 sept. 1994 |
19 sept. 1996 |
- |
|
![]() |
10 juin 1994 |
26 juil. 2013 |
- |
|
![]() |
10 juin 1994 |
13 janv. 2010 |
- |
|
![]() |
5 août 1994 |
1 avr. 2005 |
- |
|
![]() |
10 juin 1994 |
20 mars 1996 |
- |
|
![]() |
8 févr. 2000 |
7 juil. 2006 |
- |
|
![]() |
24 juin 1994 |
27 juil. 1999 |
En application de l'article XIX de la Convention, la République du Guatemala, au moment de ratifier la Convention, formule une réserve à l'endroit de l'application de l'article V de cet instrument, étant donné que l'article 27 de la Constitution politique de ce pays stipule que "les procédures d'extradition pour cause de délit politique ne seront pas engagées contre des citoyens guatémaltèques qui ne seront en aucun cas remis à un gouvernement étranger sauf exception prévue dans les traités et conventions relatifs aux crimes contre l'humanité ou le droit international," et que, à présent, il n'existe aucune loi interne au Guatemala régissant la question d'extradition.
Retrait de la réserve concernant l'application de l'article V formulée au moment de la réserve (7 septembre 2001). |
|
![]() |
10 juin 1994 |
28 avr. 2005 |
- |
|
![]() |
4 mai 2001 |
28 févr. 2002 |
Réserve formulée au moment du dépôt de l'instrument de ratification (9 avril 2002)
”Le Gouvernement des Etats- Unis du Mexique, au moment de ratifier la Convention interaméricaine sur la disparition forcée des personnes adoptée à Belém (Brésil) le 9 juin 1994, formule une réserve expresse à l'endroit de l'article IX, car la Constitution politique reconnaît la juridiction militaire dans le cas où un membre des forces armées commet un acte illicite alors qu'il est de service. La juridiction militaire ne constitue pas une juridiction spéciale aux termes de la Convention car, en vertu de l'article 14 de la Constitution mexicaine, aucune personne ne peut être privée de sa vie, de sa liberté, de ses biens ou de ses droits sauf à l'issue d'un procès devant des tribunaux préalablement établis dans lequel les règles de procédure régulière sont observées, conformément aux lois antérieurement promulguées.” |
|
![]() |
10 juin 1994 |
- |
- |
|
![]() |
10 mai 1994 |
31 juil. 1995 |
- |
|
![]() |
8 nov. 1995 |
26 août 1996 |
- |
|
![]() |
8 janv. 2001 |
8 févr. 2002 |
- |
|
![]() |
30 juin 1994 |
6 janv. 1996 |
- |
|
![]() |
10 juin 1994 |
6 juil. 1998 |
- |
|